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 Saxon, mais pas que...

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Message#Sujet: Saxon, mais pas que...   Saxon, mais pas que... I_icon_minitimeLun 1 Jan - 16:18


Lanvain l'Intrépide
PERSONNAGE
Age : Vingt-deux ans et toutes ses dents 
 Groupe : Saxons, mais pas que... 
 Rang : Mercenaire 
 Statut : A la recherche du grand amour 

 Célébrité : Tom Hopper
HISTOIRE
Une aube se levait, rouge du sang qui avait été répandu cette nuit-là, et qui le serait encore sûrement. Le brouillard couvrait de son épais manteau la plaine gelée par un hiver d'une rudesse sans égale. Les combats n’avaient que trop duré ; ils avaient commencé bien avant le crépuscule, et ils n’en finissaient toujours pas. Au loin, un bruit sourd donnait l’impression de l’impact de la foudre sur une roche abrupte. Cette clameur qui s’élevait séparait les rangées encore écarlates et tonitruantes du fléau passé. Puis, le silence vint s’installer sur le terrain, bercé par les sifflements strident du vent qui s’engouffraient dans les diverses armures boueuses des guerriers à bout de forces. Les regards s’échangeaient telles des incompréhensions haineuses enclines à la colère. « Il est mort ! » résonnait en échos sur ce champ de bataille. L’enfant, incrédule, s’approcha du champ de bataille, ignorant le froid qui lui mordait les joues. Non, il ne pouvait pas le croire. Il ne voulait pas le croire. Ce ne pouvait pas être vrai. Ce seigneur de guerre qui dirigeait une armée saxonne, son père, ne pouvait avoir succombé au combat. Comment expliquer à un enfant que son père ne reviendra pas ? Que son héros de toujours a été vaincu définitivement ? Que le dernier membre de sa famille l’a quitté, ne lui laissant qu’un corps froid et meurtri pour se recueillir ? « Reste près du champ de bataille, Kendryek, mais ne t’en approche pas » lui avait-il dit. « Je reviendrai te chercher en temps voulu. » L’enfant avait grandi sans sa mère, morte à sa naissance, et maintenant la mort l’avait amputée de l’être qu’il chérissait le plus au monde. Et il avait à peine huit ans.

 
 « Il est mort ! » répéta-t-on encore. N’y tenant plus, Kendryek courut vers l’armée, peu lui importait les dangers. En langue saxonne, son nom ne signifiait-il pas « celui qui ne craint pas » ? Ceux qui avaient survécu au combat parmi les saxons regardèrent l’enfant courir vers leur seigneur sans vie. Cette poignée d’hommes restait en émoi, les soldats se toisaient de-ci de-là en attendant que le message finisse par suivre le cheminement direct jusque vers la réalité de l’instant. Le suzerain qui les conduisait venait de tomber, entraînant dans sa chute le fracas d’une défaite. Des chefs de guerre saxons, peu en restaient d’aussi tenaces, tous rejoignaient à présent les abysses des ténèbres pour ne laisser en héritage que désolation et destruction. Les Hommes cherchaient la paix sous diverses formes, la justice restait en éveil, désireuse de trouver un berceau dans lequel elle pourrait grandir.
 
Un cavalier et son escorte que quelques fantassins s’approchèrent de l’endroit où se trouvait l’enfant. Aussitôt, les rares guerriers saxons qui restaient en vie se mirent en formation autour de ce dernier, afin de protéger leur nouveau suzerain. Le roi est mort, vive le roi. Mais le cavalier ne sembla en vouloir à la vie de l’enfant. Il demanda une reddition rapide et sans conditions. Les plus lâches posèrent les armes. Les plus fous combattirent encore, jusqu’à la mort. A la fin, il ne resta que Kendryek pour se protéger et protéger le corps de père. Il ramassa une épée et, une lueur furibonde dans les yeux, la fit tournoyer avec la maladresse de l’enfance en signe d’avertissement.
 
« Quel est ton nom, petit ? souffla le cavalier, guère impressionné par les menaces de l’enfant.
Kendryek, Messire. Ce qui signifie « celui qui ne craint pas ».
Eh bien, Kendryek ! sourit le cavalier. Tu n’es pas de ceux que l’on peut sous-estimer. Est-ce ton père qui gît derrière toi ?
En effet, gronda l’enfant tel un chien enragé, et ne vous avisez pas de le toucher ! Sinon…
As-tu un endroit où aller ? reprit le cavalier avec le même calme qu’avant. »
 
L’enfant secoua la tête. Non, il n’avait nulle part où se rendre. Son père, après avoir perdu ses terres sous les attaques bretonnes, avait pris la tête d’un groupe de mercenaires. On lui avait promis, s’il parvenait à vaincre les forces d’Uther Pendragon, qu’on lui accorderait de nouvelles terres, et assez d’argent pour les entretenir. L’occasion enfin d’offrir à son fils une meilleure vie, lui qui n’avait connu que celle d’un aventurier nomade, au milieu des mercenaires.
 
« Non, nulle part. Je n’ai jamais eu de chez moi, de terre que je puisse appeler ma terre, de bâtiment que je puisse appeler ma demeure.
Vois-tu, Kendryek, continua le cavalier, je possède des terres. Tu pourrais venir avec moi.
Pourquoi me proposeriez-vous cela ?
Parce que tu es un homme sans père et moi je suis un homme sans fils. Je commence à me faire vieux, Kendryek, et j’ai vu en toi le courage, l’audace et l’honneur qui ferait de toi un bon chevalier, un bon héritier.
Mais vous avez tué mon père !
C’est faux, c’est la guerre qui l’a tué. Elle m’a aussi prise mes deux fils. »
 
Kendryek dévisagea le cavalier dans les yeux. Il vit dans son regard, masqué sous des airs de grands seigneurs, le malheur d’un homme qui avait tout perdu, tout ce qui comptait à ses yeux. Etrangement, il se reconnut dans les yeux de celui qu’il avait appelé « ennemi ». Il hocha doucement la tête, en signe d’accord.
 
« Promettez-moi seulement de ne pas mélanger le corps de mon père à celui des autres vaincus, et de lui accorder les derniers honneurs et les funérailles dignes d’un seigneur tombé au combat.
Accordé. Kendryek, une page de ton histoire de tourne.  A partir de cet instant commence une nouvelle vie pour toi ; désormais, tu seras Lanvain, mon fils adoptif et unique héritier de mes biens. On t’appellera l’Intrépide. »

 
***


 
« Que se passe-t-il à l’intérieur de cette tête, Lanvain ? 
N’essayez pas de savoir ce qui la peuple. Ma pauvre tête est un endroit bien sombre, vous ne voudriez pas vous y trouver.
Allons, Lanvain… Je t’ai toujours considéré comme mon fils, et ce depuis l’instant où je t’ai vu.
Pourquoi m’avoir choisi ? Il y avait bien d’autres enfants orphelins, des Bretons même, et pourtant vous vous êtes tournés vers moi.
- Il y avait en toi quelque chose de différent. Une étincelle dans le regard… Quelque chose. Je suis incapable de l’expliquer, mais c’est probablement la même chose qui t’a fait accepter de me rejoindre.
Probablement, en effet…
Maintenant, Lanvain, vas-tu me dire pourquoi cet air si sombre ?
Je me rappelle d’une nuit très froide, et comment, à l’aube, les cris des hommes de mon père m’ont fait frissonner. Je pense à comment il est mort, et avec quelle cruauté on l’a tué. Je me souviens de son corps lacéré d’où vomissait rouge son sang. C’était il y a dix ans déjà. Je réfléchis à ce qu’il aurait voulu que je devienne, et à comment je puis l’honorer. Comment je puis reprendre ce qu’il lui a été volé.
Comment peux-tu penser une chose pareille ? Tu voudrais te…
Venger ? Oui, exactement. Mais pas de vous. Vous avez toujours été bon envers moi, et vous m’avez tout appris.  Non, c’est Uther qui doit payer.
Ne sois pas idiot, Lanvain. Uther est mort il y a bien des années déjà.
Dans ce cas, c’est son héritier qui paiera.
Arthur ? Je te le défends ! C’est un homme juste, un bon roi ! Excalibur l’a choisi. C’est lui et lui seul qui a été digne de tirer cette épée du roc où elle dormait ! Oh, Lanvain ! Pourquoi es-tu toujours aussi plein de colère ? Cela te procure-t-il de la joie d’imaginer ta vengeance ? Que feras-tu une fois celle-ci accomplit ? Tu seras un assassin, un mécréant, rien de plus.
Mais je ne peux pas continuer à vivre ainsi. Je suis un saxon. Messire, je ne pourrais jamais être l’homme que vous voudriez que je sois. Un Breton. Car je le mépriserais, autant que je méprise celui à l’origine de la mort de mon père. J’ai beau être Lanvain l’Intrépide aujourd’hui, au fond de moi je reste toujours Kendryek le Saxon.
Alors tu souhaites partir ? Tu le souhaites vraiment ?
Avant de partir, je voudrais vous dire que je vous respecte et que je vous aime comme un fils aime son père. C’est vrai, et cela le restera toujours. C’est vous qui m’avez appris à être un homme bien.
Mais un homme bien ne se venge pas… Si tu pars, si tu te venges, tu ne pourras pas revenir ici, car je n’abriterai pas un traître et un assassin.
Je le comprends. Mais je ne puis pas renoncer. Aussi je pars. Ne priez plus pour moi. »


***

 
Lanvain, le visage dans l’ombre de sa capuche, entra dans la masure qui servait depuis peu de lieu de réunions pour les Saxons rebelles en se baissant pour ne pas se cogner au linteau de la porte à cause de sa grande taille. C’était là qu’on lui avait donné rendez-vous. C’était là que les gens de son peuple avant consenti à le rencontrer. Il retira son chaperon et s’ébroua doucement pour redonner à sa longue chevelure un peu de son volume d’origine. Tout le monde se tourna vers lui.
 
« Ainsi, c’est vous, Lanvain… commença le doyen. Ce n’est point un nom saxon.
Ce n’est point mon véritable nom de surcroît, répondit le jeune homme avec une voix sûre.
Alors quel est-il ? 
Je ne le dirai pas avant d’avoir lavé mon honneur et celui de mon père. Mais soyez sûr de la loyauté, et, en attendant ce moment, appelez-moi par ce nom que tout le monde sait.
Donc vous aussi, vous désirez vous venger des Pendragon…
J’ai besoin de cette vengeance comme j’ai besoin d’eau. Quand le temps sera venu, je le jure, je serais avec vous.
Nous retiendrons votre promesse, jeune homme. Sachez que nous voulons tous la même chose : notre terre natale. Cette terre que nous avions conquise par notre courage et notre sang, cette terre qui nous a été arrachée sans vergogne par la lignée d’Uther.
Je renouvelle ma promesse envers mon peuple, je me battrai avec vous quand l’occasion nous sera favorable. »
 

On hocha la tête, et un à un, les Saxons sortirent, à des fréquences différentes, pour que personne ne soupçonne ce qu’il s’était tramé ici. Lanvain fut le dernier à sortir. Depuis son départ des terres qu’il lui avait été promises en héritage pour l’accomplissement d’une futile vengeance, le jeune homme, désormais âgé de vingt ans, avait couru le monde. Il s’était engagé comme mercenaire dans des armées, s’affirmant breton ou saxon en fonction de son interlocuteur. Il avait réfléchi. Finalement, il se rendait compte qu’il ne savait plus vraiment qui il était, et ce qu’il voulait. Il était né d’un père saxon, mais il avait été élevé dans les vertus bretonnes. Aujourd’hui, il avait fait une promesse à ceux qu’il appelait son peuple, mais en même temps il eut l’impression d’en avoir trahi un autre. Mais il était décidé à mener son projet jusqu’au bout, si Dieu le voulait, et s’il ne se ravisait pas. Il irait à Camelot, offrirait ses services à Arthur comme il les aurait offert à un autre, et après… Après il verrait. Il verrait si le fils d’Uther était si bon qu’on le disait et que son père adoptif lui affirmait. Il verrait si ce dernier méritait son courroux ou son apaisement. Il verrait… 
CARACTERE
Le caractère de Lanvain ? Il peut se résumer en sept mots seulement : Loyal, Ambigu, Névrosé, Volontaire, Altruiste, Intrépide, Naïf.
Loyal, car c’est un ami fidèle et, qu’une fois sa parole donnée, il s’acquittera toujours de sa promesse, sauf si celle-ci devenait contraire à toutes ses autres convictions, telles que la justice et l’honneur. Dans ce cas, il repoussera simplement l’échéance. S’il arrive au bout du temps qu’il lui ait imparti pour une parole qu’il a donné et qu’il ne peut ou veut plus tenir, il trouvera une solution pour s’en acquitter sans avoir à ses salir les mains et la conscience, bien qu’il l’ait déjà fait. Quoi qu’il en soit, il ne vous abandonnera jamais dans le besoin, même si cela peut lui coûter la vie, car il est non seulement loyal à ses amis mais aussi à son honneur et son sens de la justice.
 
Ambigu, puisqu’il ignore encore aux côtés de qui il veut combattre. S’il s’est toujours senti Saxon, il ne peut renier son éducation bretonne et l’amour filial qu’il porte pour son père adoptif, un ancien chevalier d’Uther, réformé depuis longtemps. Et c’est cette ambigüité qui le rend particulièrement secret. Il parle peu de ses états d’âmes. Ainsi, il s’adressera à vous en fonction de vos propres convictions. Si deux personnes sont en désaccord et qu’on lui demande son avis, il répondra par des propos sibyllins. 
 
Névrosé, car il a toujours tendance à réagir au quart de tours, et ce peu importe la situation. S’il lui arrive de se poser pour réfléchir, il ne sera plus le même au cœur de l’action. « Il y a un temps pour réfléchir, et un temps pour agir ». Ainsi, si vous ne marquez pas clairement la distinction entre les deux, Lanvain aura tendance à choisir l’action, incapable d’une réflexion stratégique en plein milieu d’un combat par exemple.
 
Volontaire, parce que si Lanvain n’est pas toujours le meilleur des hommes, on ne peut pas lui enlever sa bonne volonté. Il effectue les tâches ingrates sans rechigner (ou presque), et il obéira à tous les ordres qu’on lui donnera, du moins si ceux-ci n’entre pas en contradiction avec son acuité morale.
 
Altruiste, car malgré ses sautes d’humeur, Lanvain n’est pas un mauvais bougre. S’il n’avait pas été aveuglé par cette histoire de vengeance, peut-être serait-il devenu un chevalier de la Table Ronde exemplaire, bon, juste, défendant la veuve et l’orphelin, partageant avec les plus démunis. 
 
Intrépide. On n’aurait pas pu passer à côté de ce trait de caractère qui est devenu son surnom ! Son courage n’a d’égal que le nombre de fois où il s’est inutilement mis en danger, au cœur d’une mêlée par exemple. Mais on ne peut pas lui en vouloir ! C’est sa façon à lui de sentir qu’il est en vie : la risquer. Mais fort heureusement, son intrépidité, jusqu’ici, ne l’a pas tué, et au contraire, lui a plutôt été utile.
 
Naïf, enfin. Parce que Lanvain croit que s’il tient toujours ses paroles, les autres en feront autant. Il compte sur l’honneur dans tout ce qu’il entreprend. Il a également tendance à un peu trop croire ce qu’on lui dit, et est donc facilement influençable. 
Vous
Pour vous connaitre un peu mieux
Pseudo/prénom : Luc, mais mes amis s'autorisent tous les jeux de mots possible avec ce prénom... Permettez vous de faire de même ^^ 

Age : Entre dix et cent ans, sachant que cette valeur change tous les premiers du mois de mars

Comment avez vous connu le forum : Totalement par hasard, alors que je surfais sur le monde magique qu'est Internet 

Un dernier mot : Force et honneur à tous !
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Message#Sujet: Re: Saxon, mais pas que...   Saxon, mais pas que... I_icon_minitimeLun 1 Jan - 16:54

Bienvenue parmi nous !! Saxon, mais pas que... 2689989573 Saxon, mais pas que... 2689989573
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Message#Sujet: Re: Saxon, mais pas que...   Saxon, mais pas que... I_icon_minitimeLun 1 Jan - 17:02

Merci beaucoup Dame Morgane ^^
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Message#Sujet: Re: Saxon, mais pas que...   Saxon, mais pas que... I_icon_minitimeLun 1 Jan - 17:04

Bienvenue sur le forum officiellement Saxon, mais pas que... 45204503 Saxon, mais pas que... 1658567976
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Message#Sujet: Re: Saxon, mais pas que...   Saxon, mais pas que... I_icon_minitimeLun 1 Jan - 17:08

Merci beaucoup  Saxon, mais pas que... 2867754201
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Message#Sujet: Re: Saxon, mais pas que...   Saxon, mais pas que... I_icon_minitimeLun 1 Jan - 17:15

Ta fiche est parfaite, je te valide Saxon, mais pas que... 1658567976 Saxon, mais pas que... 1658567976
Par contre, j'avais oublié d'enlever les saxons de la liste de groupe, mais le groupe n'existe plus. Razz
Ca ne change rien à ton perso, mais je le mets dans peuple du coup. Cool
Et je précise qu'il est saxon. Cool
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Message#Sujet: Re: Saxon, mais pas que...   Saxon, mais pas que... I_icon_minitimeLun 1 Jan - 17:54

Oh, merci beaucoup *^*
Ah bah c'est malin ça dis donc XD
D'accord, pas de problème, merci encore !!! :3
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Message#Sujet: Re: Saxon, mais pas que...   Saxon, mais pas que... I_icon_minitimeMer 3 Jan - 9:25

Bienvenue parmi nous !! Saxon, mais pas que... 2689989573
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Message#Sujet: Re: Saxon, mais pas que...   Saxon, mais pas que... I_icon_minitimeMer 3 Jan - 9:29

Merci beaucoup Smile
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Message#Sujet: Re: Saxon, mais pas que...   Saxon, mais pas que... I_icon_minitime

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Saxon, mais pas que...
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